Après plusieurs séances et discussions autour de l’éducation aux médias, les élèves de 2^de Pro « Métiers de la sécurité » de l’Institut Nicolas Barré d’Armentières ont réalisé par petits groupes 4 parodies de vidéos complotistes.
 

• Trois sœurs
Que se passe-t-il à l’Institut Nicolas Barré ? Est-ce que les mystérieuses disparitions qui y ont lieu depuis quelques temps auraient un rapport avec la documentaliste et deux des professeures ? Ces trois femmes, visiblement très proches, entretiennent-elles un lien secret ? À mesure que les disparitions continuent, les soupçons s’alourdissent...

• Armée
Un putsch militaire se prépare-t-il à l’Institut Nicolas Barré ? La section sécurité du lycée veut-elle prendre le pouvoir ? De la fascination pour les dictateurs aux relations étrangement proches entretenues avec l’armée, tout porte à croire qu’un coup d’état est sur le point d’être fomenté. Plusieurs stratèges, déjà infiltrés dans l’école depuis longtemps, en seraient à la tête... Est-il déjà trop tard ?

• Charlotte Debeaudringhien en Prada
Mais que fait la professeure de mathématiques avec les numéros des élèves du lycée ? Sa garde-robe inexplicablement fournie lui permet des habitudes vestimentaires dignes d’une star de cinéma. Revendrait-elle les numéros de téléphone ? Mais à qui ? Qui plus est, sa fascination pour les chiffres est telle qu’on raconte qu’elle l’aurait héritée de Satan lui-même…

• Josée Willaert, la maléfique
La professeure d’anglais ne se sépare jamais de sa règle et le fait de la taper frénétiquement sur sa table ne servirait pas qu’à faire peur aux élèves… En effet, plusieurs indices laisseraient penser que Madame Willaert aurait un rapport avec les événements climatiques qui ont touché l’Institut, en particulier les dégâts des eaux... La professeure contrôlerait l’eau grâce à sa règle maléfique et serait sortie tout droit des profondeurs des océans…

Intervenante pédagogique : Juliette Lucas - Rencontres Audiovisuelles

Projet « Éducation aux médias et pratique » soutenu par la région Hauts-de-France dans le cadre du dispositif PEPS.